Adultes,Adolescents, Enfants, Couple

La thérapie

Pour traverser un moment difficile ou au contraire travailler un problème latent, la psychothérapie constitue une aide précieuse et adaptée.
Elle s’adresse à toute personne confrontée à des difficultés, qu’elles soient passagères ou durables.

  • Vie personnelle: stress, mal-être, tristesse, angoisse, souffrances diverses…
  • Vie familiale: communication difficile ou interrompue avec vos enfants ou d’autres membres de la famille…
  • Vie de couple : difficultés de communication, absence de plaisir ou d’intimité…
  • Vie professionnelle : intégration difficile dans une équipe, relations tendues avec un supérieur…
  • Études : stress intense avant un examen, difficultés scolaires…

Les supports théoriques utilisés :

ANALYSE TRANSACTIONNELLE

Fondée par Eric Berne (1910 – 1970), psychiatre et psychanalyste, l’Analyse Transactionnelle (AT) appartient aux courants humanistes en psychologie. C’est :

  1. Une théorie de la personnalité qui décrit l’organisation psychologique de la personne, son fonctionnement interne et les mécanismes qui sous-tendent ce comportement, en particulier à travers la notion d’états du moi.
  2. Une théorie du développement de l’enfant. A travers la notion de scénario de vie, l’AT montre comment nos schémas de comportement ont été mis en place au cours de notre enfance, comment nous réutilisons les stratégies qui en découlent et leur lien avec des difficultés ultérieures.
  3. Elle est donc également une théorie de la psychopathologie.
  4. Une théorie de la communication permettant d’identifier la cause des incompréhensions, tensions ou conflits et d’intervenir dans le sens du rétablissement d’un échange positif, en particulier à travers les notions de transactions et de jeux psychologiques.
  5. Un système de psychothérapie utilisé dans le traitement de troubles psychiques divers, des problèmes de la vie quotidienne aux pathologies les plus graves.

PROCESS COMMUNICATION MODEL​

En travaillant avec la PCM, vous vous engagez dans une aventure de découverte de vous- même ainsi que de nombreux aspects de votre personnalité́ : vos points forts, vos capacités, et vos Besoins Psychologiques. La formation se concentrera sur les parties positives de votre personnalité́, mais n’ignorera toutefois pas ces éléments négatifs qui existent en chacun de nous. Ces comportements improductifs et non désirables se produisent en général quand nous n’obtenons pas ce dont nous avons besoin : nous portons alors un « Masque » et mécommuniquons. 
Cette mécommunication empêche les interactions positives aussi bien dans notre vie professionnelle que dans notre vie personnelle. La Process Communication nous propose une grille de lecture de ces comportements négatifs et des options pour revenir, le cas échéant, à des comportements positifs et satisfaisants. Ceci est la partie enrichissante du travail sur soi : de voir tout ce que nous sommes et tout ce que nous pouvons être. 
Vous allez découvrir des outils qui peuvent avoir un impact significatif sur la qualité́ de votre vie professionnelle et personnelle. Vous allez trouver la signification de certains échecs ou certaines déceptions passés. Vous allez de plus pouvoir anticiper vos comportements et identifier des stratégies de succès. 

Les deux piliers de la PCM

* La manière de dire les choses a autant, et parfois plus d’importance que ce qui est dit
C’est bien souvent sur la forme que réagissent en bien ou en mal nos interlocuteurs. Un bon processus de communication permet d’optimiser la relation, d’aller à l’essentiel est de construire en s’appuyant sur le meilleur de chacun.
A l’inverse, un processus inadapté risque d’engendrer une Mécommunication, source de mésentente, de conflit, d’incompréhension et également de démotivation : les « à quoi bon ?… », « Ils ne comprennent rien ! » sont des révélateurs de cette incapacité que nous avons eue, à ce moment-là, à communiquer avec nos interlocuteurs.

* Chacun de nous développe au cours de son histoire plus ou moins des caractéristiques de chacun des six types de personnalité
Nous possédons un type de personnalité de BASE, acquise pour la vie. Nous avons aussi une PHASE qui détermine notre source de motivation. Notre phrase nous indique également nos réactions sous stress les plus probables. Au cours de notre histoire, nous pouvons changer une ou plusieurs fois de phases.


SOPHROLOGIE

La sophrologie, comme d’autres techniques, est un moyen d’accés à la connaissance de son corps, au développement de son schéma corporel.
La sophrologie génère une détente nerveuse et musculaire.
La sophrologie offre des outils pratiques pour améliorer les rapports que l’on a avec soi-même et notre entourage. Elle apporte un regard plus neutre et dénué de toute projection personnelle.
La sophrologie améliore considérablement la gestion des émotions.
C’est une pratique qui est grandement utilisée pour retrouver confiance en soi.
La sophrologie favorise aussi une diminution de l’anxiété et des maladies liées au stress (insomnies, maux de tête, troubles digestifs).
La sophrologie a une incidence très marquée sur la régénération physique et psychique.
Elle est également utilisée dans la résolution des conflits intérieurs.
C’est un soutien non négligeable dans la libération de dépendances comme : tabac, alcool, sucre etc.
Développement de la concentration, de l’attention, de l’énergie interne et des qualités humaines personnelle.
Elle a un effet très dynamisant car elle permet de libérer les ressources créatives de la personne : imagination, visualisation positive. 
Elle ouvre sur une meilleure connaissance de son univers intérieur à travers l’imageris mentale. 
Elleest aussi une méthode de développement personnel. 
Elle permet de positiver grâce à la pratique de la suggestion. 
Elle permet, par l’intermédiaire de la régulation de son tonus musculaire et mental, de gérer son effort.
L’approfondissement de la connaissance de soi permet un positionnement personnel par rapport aux autres, à la compétition, au milieu sportif, aux autres (adversaires et partenaires).


LA THERAPIE CONGNITIVO-COMPORTEMENTALE

Les thérapies cognitivo-comportementales sont des techniques de psychothérapie, discipline aujourd’hui très largement utilisée par les praticiens et les psychologues pour améliorer la santé mentale de leurs patients.
Les TCC possèdent un champ très large d’applications et sont devenues le type de traitement le plus efficace pour lutter contre de nombreux troubles, comme la dépression, les phobies, les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) ou le syndrome post-traumatique (SPT). En raison des preuves scientifiques quant à leur efficacité, les TCC s’inscrivent dans le prolongement de la riche histoire de la psychologie cognitive.

Brève histoire de la thérapie cognitivo-comportementale

Au cours des années 1960, les deux courants de la théorie cognitive et la théorie du comportement se sont réunis pour former la thérapie cognitivo- comportementale, devenant un puissant vecteur pour traiter un large éventail de troubles.
Aaron Beck, psychiatre à l’université de Pennsylvanie, en a été le pionnier après avoir étudié et pratiqué la psychanalyse pendant de nombreuses années. Au cours de ses expériences concernant la dépression, il a constaté que de nombreux patients développaient ce qu’il a nommé des « pensées automatiques », qui pouvaient se classer parmi trois grandes catégories : de pensées négatives : à propos d’eux-mêmes, du monde, ou de l’avenir.
En travaillant sur ces pensées, Beck a accompagné les patients à réfléchir de manière plus réaliste, afin qu’ils puissent progresser sur le plan émotionnel et provoquer des changements durablement positifs. Beck a baptisé cette approche « thérapie cognitive », depuis répandue sous le nom de « thérapie cognitivo-comportementale ».


La méditation de pleine conscience

Créé en 1979 par Jon Kabat-Zinn au sein de la Faculté de Médecine du Massachusetts, le programme Mindfulness-Based Stress Reduction (Réduction du Stress Basée sur la Pleine Conscience) est un programme structuré qui tire ses influences de deux grands courants : celui des traditions méditatives orientales (pratique bouddhiste de vipassana et yoga) et celui de la science occidentale (médecine et psychologie).

Ce programme constitue une approche éducative qui vise, par un apprentissage expérientiel, à développer l’aptitude à répondre plus efficacement au stress, à la douleur et à la maladie en invitant les participants à se relier à leurs ressources internes.
Les participants apprennent à reconnaître leurs réactions habituelles aux difficultés et à adopter une attitude d’acceptation et de non-jugement envers toute expérience, y compris les sensations, pensées, émotions ou comportements difficiles.
Le programme repose sur un entraînement intensif à la méditation de Pleine Conscience et sur son intégration dans la vie de tous les jours.
Les participants développent leur capacité à prendre soin d’eux et à trouver une meilleure qualité de vie.

Pour vous aider à choisir

Vous avez tendance à vous perdre, voici quelques définitions qui pourront vous aider dans votre démarche :

Le psychopraticien

C’est la nouvelle dénomination établie par la Fédération Française de Psychothérapie et  Psychanalyse pour désigner les personnes qui dispensent une psychothérapie. L’exercice de cette profession exige :
Psychothérapie personnelle approfondie.
Formation spécifique de plusieurs années à la psychothérapie – théorique, méthodologique et pratique – dans une méthode agréée.
Formation en  psychopathologie clinique.
Engagement de supervision permanente.
Engagement à respecter la charte déontologique.

Le psychiatre

Définition du mot Psychiatrie : Spécialité médicale concernant les maladies mentales.
La psychiatrie est la médecine des maladies mentales, quelles que soient leurs causes, psychiques, neurologiques ou psychosociologiques. Le psychiatre n’est pas psychanalyste ou psychothérapeute (sauf s’il a une formation complémentaire), mais son diplôme de médecin lui permet de prescrire des médicaments ou de décider d’une hospitalisation psychiatrique.
Seul ce statut permet une prise en charge par l’assurance maladie.

Le psychologue

 est un(e) professionnel(le) qui a suivi une formation universitaire et, dans de nombreux cas, une formation personnelle (développement personnel sous la forme d’une « analyse » ou d’une psychothérapie). Il accompagne le patient dans l’interrogation que celui-ci a choisi d’entreprendre sur lui-même. Il n’est pas médecin et ne peut prescrire de médicaments. Son travail est donc avant tout un travail d’écoute.

Le psychanalyste

est une personne ayant suivi une psychanalyse (freudienne, lacanienne ou jungienne) et proposant ensuite au patient une méthode de thérapie dite analytique prenant en compte la dimension inconsciente du symptôme. Cette méthode est de plus ou moins longue durée sur le divan (ou face à face). Le psychanalyste est généralement « supervisé » par l’un de ses collègues. Il peut aussi bien être un médecin ou un psychologue (mais pas forcément).

Le psychothérapeute :

Il peut aussi bien être au mieux psychologue clinicien, psychiatre, psychanalyste ou une autre personne. En France il n’y a pas de diplôme officiel de psychothérapeute. Actuellement les choses sont en train d’évoluer vers une réglementation du titre de psychothérapeute. Pour l’instant seul les psychiatres peuvent utiliser ce titre.
Définition du mot Psychothérapeute : Thérapeute qui dispense une psychothérapie.

Plus

Devenir psychothérapeute nécessite une formation post-universitaire. Vous pourrez trouver cette spécialisation dans certains organismes. La formation dure en moyenne trois ans, et permet d’acquérir les compétences techniques nécessaires à la pratique de ce métier. Le psychothérapeute va suivre son patient tout au long de sa psychothérapie, laquelle est une méthode pour aider l’individu à résoudre ses problèmes. Comme il existe de nombreux types de psychothérapie, il existe également différents psychothérapeutes. Ainsi, les pratiques, et approches peuvent différer d’un psychothérapeute à l’autre. Il n’y a pas de « règles » à suivre. Cette diversité dans les approches doit être bien connue du patient, afin que lui même se dirige vers le spécialiste qui saura répondre de manière précise à ses attentes.

Définitions inspirées du site www.psychologies.com et de la FF2P.


Mes tarifs de consultation :

  • 55 euros (revenu familial inférieur à 1200 euros net par mois), 
  • 65 euros (revenu familial supérieur à 1200 euros net par mois) 
  • 75 euros la séance pour les structures.
  • Je travaille sur un format de séance de 50mn (+ ou – 5mn)

Certaines mutuelles ou contrats d’assurance prennent en charge l’aide psychologique (ex : contrat multi-risques habitation suite à une agression, accident…).

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